s. f. C'est la femme du bedeau, qui partage, avec son mari, le service de l'église. C'est elle qui orne de fleurs les autels, blanchit le linge des Messieurs prêtres, serre les chaises et au besoin sonne les baptêmes. Dans les villages, la bedelle est une personne de haute importance, et même aussi dans les villes. — Les linges avant servi au saint sacrifice de la messe sont blanchis par une veuve, ou mieux par une fille vierge, s'il est possible. BESCH. : bédel, vieux mot pour bédeau. — B. lat : bédellus, bedeau (duc.)
Source documentaire ?
Dictionnaire des locutions populaires du bon pays de Rennes-en-Bretagne - Coulabin, Henri - 1891 - Rennes : Hyacinthe Caillière - ECLIM0001 - p. 31
Type de document
Ecrit - Document écrit
Contributeur, -trice
Chubri
Numéro de fiche
AA0156
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