s. f. Les femmes du peuple, et particulièrement les paysannes, apportent souvent des denrées dans leurs tabliers relevés par les coins ; elles appellent cela une couée. — Une mère à sa fille : « Va chercher une couée de choux, de navets, pour la chèvre. » — Le tablier, dans ce cas, tient lieu de panier, et sa contenance est assez bornée. —S'emploie aussi pour exprimer une certaine quantité. — « Nous avons cette année une bonne couée de perdrix. »
Source documentaire ?
Dictionnaire des locutions populaires du bon pays de Rennes-en-Bretagne - Coulabin, Henri - 1891 - Rennes : Hyacinthe Caillière - ECLIM0001 - p. 101
Type de document
Ecrit - Document écrit
Contributeur, -trice
Chubri
Numéro de fiche
AA0512
Avertissement
Cette fiche est en attente de traitement. Pour en savoir plus, cliquez ici.