s. f. pl., publications de mariage qui ont lieu pendant trois dimanches consécutifs dans les paroisses auxquelles appartiennent les futurs conjoints. Moyennant finance, on s'affranchit de deux publications.
Endret d'uzaïj
Non renseigné
Sourç doqhumentérr ?
Dictionnaire des locutions populaires du bon pays de Rennes-en-Bretagne - Coulabin, Henri - 1891 - Rennes : Hyacinthe Caillière - ECLIM0001 - p. 28
Sortt de doqhument
Ecrit - Document écrit
Aportou, -ouerr
Chubri
Limerot d fich
AA0138
Avèrtisment
La fich-çi ée en·n atentt de tretment. Pourr nen savaer davantaïj, clliqée don ici.
v. a., publier les promesses de mariage à l'église. L'autorité ecclésiastique, nonobstant le Concordat, a cru devoir conserver ce droit de publication. — Elle bannit aussi les tonsurés avant leur admission dans les ordres sacrés. Bannie signifiait autrefois ban, publication en général. — TRÉV. : bannir, en qqs. coutumes signifie publier. On dit en plusieurs lieux qu'une personne a été bannie, quand on a fait, à l'église, la publication de son mariage. — NORM. : bannir qn, faire publier son mariage religieux au prône.
Endret d'uzaïj
Non renseigné
Sourç doqhumentérr ?
Dictionnaire des locutions populaires du bon pays de Rennes-en-Bretagne - Coulabin, Henri - 1891 - Rennes : Hyacinthe Caillière - ECLIM0001 - p. 28
Sortt de doqhument
Ecrit - Document écrit
Aportou, -ouerr
Chubri
Limerot d fich
AA0139
Avèrtisment
La fich-çi ée en·n atentt de tretment. Pourr nen savaer davantaïj, clliqée don ici.