v. a., causer préjudice à autrui, soit dans ses intérêts, soit dans sa personne ; battre, tromper. — Le gars Pierre se croyait le plus fort ; mais il a été b'en baisé : Jean lui a donné une fameuse raclée. — « J'ai été baisé, >> dira Paul, « j'ai cru ajeter un bon jeval,et l'on m'a vendu une rosse.» — « Laisse-moi tranquille, ou je vas te baiser », dit aussi le gamin de Rennes. On le voit, le vrai sens du mot baiser est ici complètement détourné.
Endret d'uzaïj
Non renseigné
Sourç doqhumentérr ?
Dictionnaire des locutions populaires du bon pays de Rennes-en-Bretagne - Coulabin, Henri - 1891 - Rennes : Hyacinthe Caillière - ECLIM0001 - p. 26
Sortt de doqhument
Ecrit - Document écrit
Aportou, -ouerr
Chubri
Limerot d fich
AA0129
Avèrtisment
La fich-çi ée en·n atentt de tretment. Pourr nen savaer davantaïj, clliqée don ici.
Glossaire gallo du sud-est du pays de Châteaubriant (Grand-Auverné, Petit-Auverné, La Chapelle-Glain) - Burin, Pierre - 2018 - [inédit] - ECLIM0011 - B, p. 14
Sortt de doqhument
Ecrit - Document écrit
Aportou, -ouerr
Pierre Burin & famille
Limerot d fich
AF1089
Avèrtisment
La fich-çi ée en·n atentt de tretment. Pourr nen savaer davantaïj, clliqée don ici.