v. pron., vieux mot très usité. Venir à bout, mener à bonne fin, se débarrasser des importunités d'une personne. — « Voilà une rude besogne, je m'en chevirai b'en tout d'même. » — « Rappelez donc vot' gars, mère Jeanne, je ne peux m'en chevi. » NORM. : chevir, v. n., m. sg. Se chevir, s'aider, jouir de. — CENTRE : chevir, être maître de. On écrivait autrefois chefvir. V. Mont., etc. — Vieux Fr. : chevir, cheviare, 1- traiter, composer, transiger ; 2- se tirer d'embarras : « ne say comment m'en cheviray ». Rom. de Renart ; 3- se défaire de qq. chose ; 4- se rendre maître de qn.
Endret d'uzaïj
Non renseigné
Sourç doqhumentérr ?
Dictionnaire des locutions populaires du bon pays de Rennes-en-Bretagne - Coulabin, Henri - 1891 - Rennes : Hyacinthe Caillière - ECLIM0001 - p. 82
Sortt de doqhument
Ecrit - Document écrit
Aportou, -ouerr
Chubri
Limerot d fich
AA0420
Avèrtisment
La fich-çi ée en·n atentt de tretment. Pourr nen savaer davantaïj, clliqée don ici.