v. a., rendre à quelqu'un la chance qui l'a fui. — « Je n'ai encore rien vendu aujourd'hui », dira un marchand à un acheteur, « je vous vends à bon marché, vous allez peut-être me défaîner. » — Un joueur a une longue déveine, la chance lui revient, il est défaîné. — Voir Faîner.
Endret d'uzaïj
Non renseigné
Sourç doqhumentérr ?
Dictionnaire des locutions populaires du bon pays de Rennes-en-Bretagne - Coulabin, Henri - 1891 - Rennes : Hyacinthe Caillière - ECLIM0001 - p. 120
Sortt de doqhument
Ecrit - Document écrit
Aportou, -ouerr
Chubri
Limerot d fich
AA0601
Avèrtisment
La fich-çi ée en·n atentt de tretment. Pourr nen savaer davantaïj, clliqée don ici.