v. pron. ; ce n'est pas tousser, mais (comment dirai-je ?) toussoter pour se débarrasser des mucosités qui tapissent les parois de la gorge. — On s'erhume quelquefois pour avertir de sa présence une personne qu'on ne veut pas surprendre, ou pour l'engager à se tenir sur ses gardes en mettant fin à des propos compromettants. — « Je m'erhumai; il me comprit et se tut. »
Endret d'uzaïj
Non renseigné
Sourç doqhumentérr ?
Dictionnaire des locutions populaires du bon pays de Rennes-en-Bretagne - Coulabin, Henri - 1891 - Rennes : Hyacinthe Caillière - ECLIM0001 - p. 155
Sortt de doqhument
Ecrit - Document écrit
Aportou, -ouerr
Chubri
Limerot d fich
AA0784
Avèrtisment
La fich-çi ée en·n atentt de tretment. Pourr nen savaer davantaïj, clliqée don ici.